Les protagonistes

Vous trouverez dans cet article les détails sur les différents protagonistes que vous rencontrerez dans l'unviers d'Age of Conan.


Parmi les guerriers cimmériens assiégés et épuisés de la Vallée de Conall, le nom du chef de guerre Kern Wolfeye est prononcé avec un étrange mélange de haine et de respect.


Kern licked a dry tongue over his cracked lips. His cold-ravaged face, his amber, lupine gaze. He looked like a creature out of the blizzard. Like a wolf. Savage and strong.

“To answer your question,” he said. “Yea. I hunt the Vanirs. And the Ymirish. And they might well be my father’s people.” Brig saw how the admission hurt. A quick flash of pain behind those yellow, unblinking eyes. “But my mother was Cimmerian, by Crom, and so am I.”

— Legends of Kern: Blood of Wolves, Loren Coleman





Parmi les guerriers cimmériens assiégés et épuisés de la Vallée de Conall, le nom du chef de guerre Kern Wolfeye est prononcé avec un étrange mélange de haine et de respect. Alors que les autres chefs de clans prônent la patience et constituent peu à peu leurs forces, Kern sait que son peuple est condamné s'il ne contre-attaque pas maintenant pour reprendre leur terre.


Alors que les jours passent pour devenir des mois, ce sont les Vanirs qui se renforcent et deviennent plus audacieux, pas les Cimmériens. Kern voit les corps de son peuple empalés sur des lances, voit les villages réduits en cendres calcinées éparpillées au travers des collines rocheuses par le vent ; il voit les patrouilles de Vanirs bien armés souillant le Champ des Morts — et il veut tuer chaque guerrier du Vanaheim présent dans la vallée avant qu'il ne soit trop tard.


Ce sont des ses yeux qui provient son nom, qui sont bizarrement jaunes, ressemblant beaucoup à ceux des Ymirish du lointain nord. Une grande partie de la méfiance que lui portent les autres chefs Cimmériens provient justement de ses étranges yeux, sa peau pâle qui ne bronze jamais, et ses cheveux jaunes, révélant à tous sa nature Ymirish. Les relations se sont un peu plus refroidit car Kern a été exilé par son propre clan, banni par le Chef Cul, à propos d'une affaire dont la nature diffère selon celui qui la raconte.

Wolfeye est un chef de guerre hésitant, bien qu'il possède les compétences et l'intégrité d'un homme fait pour diriger. Ses ambitions ne sont pas nourries par la vanité ou la soif de pouvoir, mais par la conviction que si rien n'est fait maintenant pour repousser les Vanirs, ils perdront toute chance de victoire et la Cimmérie tombera ensuite.

Malgré sa façade unie et sa position de domination, les Aquiloniens sont un peuple divisé. Leur royaume - appelé « La Fleur de l’Occident » est une merveille qui n’a pas d’équivalent sur Hyboria.


“I found Aquilonia in the grip of a pig like you – one who traced his genealogy for a thousand years. The land was torn with the wars of the barons, and the people cried out under suppression and taxation. Today no Aquilonian noble dares maltreat the humblest of my subjects, and the taxes of the people are lighter than anywhere else in the world.”

–– The Scarlet Citadel, Robert E. Howard





Malgré sa façade unie et sa position de domination, les Aquiloniens sont un peuple divisé. Leur royaume - appelé « La Fleur de l’Occident » est une merveille qui n’a pas d’équivalent sur Hyboria. C’est une terre de cités prospères, de grande richesse, d’une culture raffinée avec une liberté religieuse garantie par le roi, pour permettre à toutes les croyances de cohabiter. Malgré une aura glorieuse et en dépit des efforts menés par son monarque populaire le Roi Conan Ier, c’est encore une terre où s’affrontent des cultures et où le chaos provenant d’émeutes menace toujours la population.

A Age of Conan: Hyborian Adventures, jouer un Aquilonien vous assurera une expérience de jeu diversifiée. Situé sur de nombreux aspects entre le Cimmérien et le Stygien, l’Aquilonien est un choix parfait pour celui qui veut jouer un personnage qui ne souhaite pas se voir coller une étiquette comme on peut le voir pour les autres races. Il est facile de faire une comparaison entre les Aquiloniens et les Romains - principalement parce que les deux peuples sont connus pour le haut raffinement de leur société où on porte un grand respect à la hiérarchie. C’est peut-être la raison pour laquelle il peut être encore plus excitant de jouer un Aquilonien et de l’emmener vers une vie dangereuse. Il peut être facile de jouer un Cimmériens habitué à se battre ou un Stygien rusé, mais faire la même chose avec un Aquilonien peut donner lieu à de nouvelles et innovantes façons de créer un personnage.


Les Aquiloniens savent et ont toujours su que leurs frontières ne sont ni sûres, ni hermétiques. Des conflits avec d’autres nations parsèment l’histoire de l’Aquilonie. Les raids lancés par les Pictes augmentent d’années en années et l’inimitié entre Aquiloniens et Némédiens n’a pas été aussi haute depuis des décennies. Pour un royaume coincé entre autant de nations conquises, soumises ou alliées, les Aquiloniens s’attendent bien sur à une certaine tension sur leur propre territoire. Tous les Aquiloniens s’attendant à quelques effusions de sang autour du trône ainsi que sur des problèmes de souveraineté et, dans le passé, les prétendants au trône ont levé des armées pour marcher sur la capitale Tarantia, plongeant la nation en pleine guerre civile.

Malgré sa façade unie et sa position de domination, les Aquiloniens sont un peuple divisé. Leur royaume - appelé « La Fleur de l’Occident » est une merveille qui n’a pas d’équivalent sur Hyboria. C’est une terre de cités prospères, de grande richesse, d’une culture raffinée avec une liberté religieuse garantie par le roi, pour permettre à toutes les croyances de cohabiter. Malgré une aura glorieuse et en dépit des efforts menés par son monarque populaire le Roi Conan Ier, c’est encore une terre où s’affrontent des cultures et où le chaos provenant d’émeutes menace toujours la population.

A Age of Conan: Hyborian Adventures, jouer un Aquilonien vous assurera une expérience de jeu diversifiée. Situé sur de nombreux aspects entre le Cimmérien et le Stygien, l’Aquilonien est un choix parfait pour celui qui veut jouer un personnage qui ne souhaite pas se voir coller une étiquette comme on peut le voir pour les autres races. Il est facile de faire une comparaison entre les Aquiloniens et les Romains - principalement parce que les deux peuples sont connus pour le haut raffinement de leur société où on porte un grand respect à la hiérarchie. C’est peut-être la raison pour laquelle il peut être encore plus excitant de jouer un Aquilonien et de l’emmener vers une vie dangereuse. Il peut être facile de jouer un Cimmériens habitué à se battre ou un Stygien rusé, mais faire la même chose avec un Aquilonien peut donner lieu à de nouvelles et innovantes façons de créer un personnage.

Les Aquiloniens savent et ont toujours su que leurs frontières ne sont ni sûres, ni hermétiques. Des conflits avec d’autres nations parsèment l’histoire de l’Aquilonie. Les raids lancés par les Pictes augmentent d’années en années et l’inimitié entre Aquiloniens et Némédiens n’a pas été aussi haute depuis des décennies. Pour un royaume coincé entre autant de nations conquises, soumises ou alliées, les Aquiloniens s’attendent bien sur à une certaine tension sur leur propre territoire. Tous les Aquiloniens s’attendant à quelques effusions de sang autour du trône ainsi que sur des problèmes de souveraineté et, dans le passé, les prétendants au trône ont levé des armées pour marcher sur la capitale Tarantia, plongeant la nation en pleine guerre civile.

Malgré tous ces troubles épiques, le peuple du plus grand royaume du monde est beaucoup plus cultivé et instruit que toutes les autres nations. Les sages sont autant respectés que les soldats et l’esclavage (là ou il est pratiqué) n’est pas une condition de vie aussi dure que dans les autres nations. Pour les Aquiloniens, la qualité de vie est importante.

Les guerriers Aquiloniens sont disciplinés et durs - plus soldat que guerrier. Le peuple privilégie la compétence martiale et admire tout ceux qui résistent face aux nombreux ennemis du pays, surtout les Pictes haïs par tous. Les Aquiloniens estiment les libres-penseurs et l’indépendance et, ceux vivant de leur propre chef, reçoivent du respect. La sorcellerie est vue comme la pratique des mauvais hommes et on l’évite ; mais les prêtres de Mitra font leur propre magie et gagnent un grand respect parmi la population pour être au service de la lumière et de la grâce du vrai dieu.

Avec leur robustesse alliée à leur grande discipline, les Aquiloniens font de grands Soldats et peuvent suivre la voie du Gardien, du Sombre Templier ou du Conquérant. Tandis que les Aquiloniens ne peuvent pas devenir Mages, beaucoup d’entre eux choisissent d’avoir accès aux pouvoirs d’en-haut en suivant la voie du Prêtre pour devenir, plus tard, Prêtre de Mitra ou Druide Tempête. Les Aquiloniens sont aussi connus pour être de réputés Voleurs, faisant leur chemin entre l’Assassin, le Barbare ou le Ranger.

Une nouvelle menace, accompagnant les hordes des vicieux pillards vanirs est la présence de guerriers aux yeux jaunes et aux cheveux blancs que les Hommes du Nord appellent Ymirish. Ces guerriers servent en tant que commandants des hordes, étant plus grands, plus forts et plus sauvages que les mortels Vanirs même, grâce au sang d'Ymir coulant dans leurs veines.





Peu de guerriers cimmériens peuvent faire face, lors d'une bataille, à un combattant Ymirish. Leur force est sans égale à cause du sang de leur dieu, et bien qu'ils soient autant humains que les Vanirs et les Aesirs du Nordheim, les Ymirishs sont aussi beaucoup plus que leurs cousins nordiques. Personne ne comprend la nature exacte des Ymirishs, ou le côté divin de leurs lignée, si ce n'est que le sang des vrais fils d'Ymir, les géants du froid, coule dans leurs veines. Il est plus dilué que celui de leur chef de guerre Grimnir Stormbringer, mais c'est suffisant pour leurs accorder une remarquable endurance et puissance physique.

On trouve souvent les guerriers ymirishs à la tête des patrouilles vanirs ou comme chefs des campements d'Hommes du Nord installés dans la Vallée de Conall au nord de la Cimmérie. Il sont différents, non seulement pas leur taille, leurs cheveux blancs ou leurs yeux jaunes, mais aussi par leurs yeux brillants la nuit, reflétant la lumière de la lune comme les yeux des loups. Quand les Cimmériens et les Vanir se battent, c'est l'Ymirish qui met fin aux vies de la plupart des ennemis, et c'est l'Ymirish qui choisit en premier la femme en tant que trophée de victoire. Tels sont leurs prouesses sur le champ de bataille, et le respect que les hommes leur accordent.



Il est également connu que les Vanirs de descendance Ymirish ont un penchant pour les arts sombres. Beaucoup d'Ymirish ont en eux le sinistre pouvoir d'entendre et de répondre à l'Appel d'Ymir. Le noir pouvoir mystique de leur dieu impie les dévore, rongeant leurs apparence physique, utilisant l'énergie de leurs propres corps pour alimenter leur magie noire. Dans les campements vanirs se trouvant dans les terres conquises du nord de la Cimmérie, les sorcières aux cheveux d'or qui ont répondu à l'Appel d'Ymir font leur horrible magie, la sorcellerie de leur dieu donnant à leurs frères guerriers, une sauvagerie bestiale.

Grimnir Strombringer, Champion des Dieux du Nord


A mammoth, covered in ropes of shaggy, coarse hair and strong as ten oxen. It plowed forward with a large form astride its neck, raising weapons overhead in challenge. A giant form. A true beast that walked upright, like a demon with blazing eyes of golden fire. The tales had not been so tall, after all.

At last, Grimnir stood revealed.

Giant-kin! Frost giant. One of the legendary true sons of Ymir. Easily half-again as large as a regular man, with a thick hide the color of old, rotten snow and heavily-muscled arms that could tear a warrior in two. His eyes did spark like yellow fire out of a face more bestial than human.

But this was no mindless creature of the deep, deep north. There was intelligence there, and purpose in the way he held his weapons. He raised a warhammer overhead with his right hand. In his other, he wielded a battle axe one-handed and pointed it at the Cimmerian line.

“Crom’s blood,” Brig Tall-Wood said aloud.
— Legends of Kern: Blood of Wolves, Loren Coleman


Pendant plusieurs saisons, le nom de chef de guerre les plus craint du Vanaheim s'est trouvé sur les lèvres des guerriers cimmériens. C'est l'homme que l'on a accusé d'être à l'origine des hivers exceptionnellement longs de ces dernières années, car une malédiction de naissance fait qu'il apporte froid et neige sur la Cimmérie. C'est l'homme qui se vante d'avoir tué, dans un tourbillon de sang, d'innombrables guerriers au sud du Vanaheim. C'est lui qui dirige une horde de berserkers Vanirs et Ymirishs, hurlant des ordres alors que ces hommes souillent la beauté de la patrie de Conan et rit en les voyant massacrer les défenseurs, violer les femmes et réduire en cendres les campements. Dans une terre où la superstition est vue comme une faiblesse, les Cimmériens se signent dès que le nom du chef de guerre est mentionné.

Grimnir Stormbringer. Grimnir l'Invincible. Grimnir l'Immortel.



Stormbringer est un nom qui raisonne d'une étrange vérité à cause des maudits blizzards qu'envoient ses sorciers et à cause du Souffle de Grimnir, vent glacial qui sévit jours et nuits et qui tourmente les villages cimmériens. Il est appelé l'Invincible car, même si les forces de Kern Wolfeye détruisent son armée, les Hommes du Nord de Grimnir reviennent toujours pour tuer leurs ennemis vivant dans le sud.

Une brume recouvre le peuple de Cimmérie. Tandis que l’on pourrait penser qu’il ne s’agit que du voile d'un ciel nuageux au dessus de leurs têtes, les menaçant chaque jour d’un temps lugubre et de violents orages, la vérité est que les Cimmériens vivent sous le voile d’un funeste destin.


-Tu sais rire, boire, et brailler de fières chansons; or jamais, à part toi, je n'ai rencontré de Cimmérien qui bût autre chose que de l'eau, qui sût rire, ou encore chanter, sinon des ballades nostalgiques.
-Cela tient peut-être au pays dans lequel ils vivent, répondit Conan. Jamais il n'y eut terre plus triste - rien que des collines couvertes de sombres forêts, un ciel toujours gris, et le perpétuel gémissement du vent qui descend dans les vallées.
- Pas étonnant que les hommes y deviennent taciturnes, fit Prospero avec un haussement d'épaules, en songeant aux plaines riantes et ensoleillées, aux rivières bleues et indolentes du Poitain, la province la plus méridionale d'Aquilonie.
- Ils n'attendent rien, ni de la vie, ni de l'au-delà, renchérit Conan. Leurs dieux sont Crom et ses suppôts, qui siègent dans le monde des morts, un endroit de brumes éternelles. Mitra ! Les croyances des Aésirs me convenaient mieux.

—The Phoenix on the Sword, Robert E. Howard





Une brume recouvre le peuple de Cimmérie. Tandis que l’on pourrait penser qu’il ne s’agit que du voile d'un ciel nuageux au dessus de leurs têtes, les menaçant chaque jour d’un temps lugubre et de violents orages, la vérité est que les Cimmériens vivent sous le voile d’un funeste destin. Alors que les Ages Hyborien rentrent dans leurs derniers siècles de vie, peu de gens s’en rendent compte aussi clairement que les clans barbares du nord. C’est une impression subconsciente — plus une mélancolie subtile, toujours présente qu’une véritable sensation. Mais elle est là, dans le sang et dans les os de chaque Cimmérien. Ils la ressentent tous. Chacun sent, au plus profond de lui que la fin arrive.

A Age of Conan: Hyborian Adventures, les joueurs s’apercevront que jouer un Cimmérien peut être une expérience très variée. Leur nature barbare, leur allure robuste et leur penchant à charger dans une bataille où toutes les chances sont contre eux, devraient intéresser ceux qui préfèrent résoudre une dispute avec la lame plutôt qu’avec des mots. Les Cimmériens sont encore une culture intéressante dont les racines sont plus profondes que celles des montagnes, et explorer cette société en tant que joueur pourra révéler de nombreuses surprises. Ils sont certainement barbares, mais ils ont des coeurs – des coeurs qui battent pour la terre qui les entoure et leur lignée. Créer une intéressante histoire pour un Cimmérien ne devrait pas poser de réel défi.



Le roi Conan Ier d’Aquilonie est le plus célèbre cimmérien d’Hyboria, bien qu’il ne soit pas une représentation typique de son peuple. Il chérit la vie tandis que son peuple lutte pour survivre et subit la loi de la vie. Il est brûlé de curiosité devant les merveilles du monde, tandis que son people reste maintenant à l’intérieur des frontières montagneuses de leur pays et ne se préoccupe pas de ce qui se passe à l’extérieur des territoires de leurs clans. La vie en Cimmérie est dure, et il n’existe pas de plus grande preuve de ceci que les austères cimmériens eux-mêmes. .

Les Cimmériens sont un peuple barbare, avec une culture façonnée par leur terre âpre et dangereuse au point que les étrangers considèrent avec méfiance les tribus du nord et se demandent, mis à part les chants funèbres lugubres, s’il faut rire des chants ou bien les chanter. Pour le reste du monde, les barbares de Cimmérie, qui vivent dans cette région froide et dure, sont plongés dans la misère et les guerres internes entre tribus, ne survivant que grâce aux efforts consentis pas les chasseurs qui nourrissent chaque communauté. Les Cimmériens vivent au jour le jour dans un royaume hostile. Ca leur apporte la pitié des autres nations, mais ça leur procure une force qu’aucun entraînement ne pourra jamais donner.

Tandis que les Cimmériens reconnaissent Crom comme leur dieu, ils ne le révèrent pas autant que les Aquiloniens révèrent Mitra et que les Stygiens craignent Set. Crom observe ses enfants de son trône sur la montagne, mais il ne s’occupe pas des vies des mortels. Les Cimmériens croient que Crom leur donne la force à la naissance — la force qu’ils auront besoin pour vaincre les vicissitudes de la vie. Après quoi, ils sont laissés à eux-mêmes, comme il se doit.

Les barbares n’ont que faire de l’écriture et de la lecture, passant leurs coutumes oralement par des récits narrés ou des légendes murmurées au coin du feu. Ils privilégient la prouesse martiale sur leurs ennemis, la force physique, et la capacité à se débrouiller seul. Tandis qu’ils ont des voyants et des chamans, le surnaturel est pour les barbares source de terreur. Ils se vantent d’avoir réussi leur vie grâce à leur force, leur compétence et leur ruse, et jamais ne se fient aux mystères des arcanes qui obscurcissent les âmes des hommes des autres nations.

Il ne vous sera pas surprenant que les Cimmériens choisissent habituellement une vie où sont présents les armes, le sang et le dur labeur. En tant que joueur, vous aurez l’option de choisir entre trois des quatre archétypes, c’est-à-dire, Rogue, Soldat et Prêtre. La voie du Mage est fermée pour les Cimmériens, car la plupart d’entre eux ont peu envie d’aller creuser dans les profonds mystères de la magie. Ceux qui ont une affinité pour le surnaturel devraient plutôt se tourner vers la prêtrise et rejoindre par la suite les rangs des Chamans Ours ou des Prêtres de Mitra. Ceux qui choisissent la voie du Rogue peuvent explorer des classes telles que le Ranger et le Barbare, tandis que le Soldat peut devenir Gardien, Conquérant ou Sombre Templier. Quelque soit votre choix, jouer un Cimmérien sera un défi.

Les Stygiens sont une ancienne culture décadente, nés d’une civilisation plus vieille de 150 ans par rapport aux royaumes voisins au nord.


Dominés par une impitoyable théocratie dédiée à l’adoration du dieu serpent Set, les Stygiens sont les maîtres des secrets occultes et des connaissances diaboliques. Leur érudition est légendaire et leur maîtrise des arts magiques est sans égal dans le monde connu. Contrairement aux royaumes d’Hyboria, les Stygiens se préoccupent peu de ce qui se passe à l’extérieur de leurs frontières. Tandis que les Aquiloniens et les Némédiens mesurent leur valeur sous la forme de châteaux et d’armée en armure rutilantes, les prêtres-sages de Stygie n’ont que faire de tels artifices. Ils ont depuis longtemps appris que le vrai pouvoir se trouve dans la connaissance et les pactes passés avec des sombres puissances plus âgées que le cosmos lui-même.






Dans Age of Conan: Hyborian Adventures, les joueurs s’apercevront que les Stygiens peuvent être très intéressants pour faire du role-play. Leur nature mystérieuse et tournée vers la magie en font de parfaits candidats pour ceux qui veulent jouer un personnages sage et intelligent qui détient derrière ses yeux sombres un grand pouvoir, encore que, ils pourraient aussi choisir de jouer le rôle d’un Stygien rogue dont la principale occupation est de voler aux riches ainsi que dans les belles demeures de ceux qui appartiennent à la caste supérieure. Les Stygiens forment un peuple diversifié qui suit les nombreux sentiers de la vie, et les joueurs trouveront de grandes opportunités s’ils veulent rentrer dans Hyboria dans la peau d’un d’entre eux.

La société stygienne est divisée en trois castes héréditaires rigides : la noblesse, l’aristocratie ou la caste moyenne, et la caste des paysans. La caste noble est, en ces temps moderne, très diminuée. Contrairement aux castes inférieures, dont le sang s’est mêlé avec le temps avec les gens de souche Kothian, Shemite et Kushite, la caste noble stygienne a gardé sa grande taille et porte des cheveux sombres sur une peau couleur ivoire. On les voit rarement, même dans les plus grandes villes stygiennes, et ils ne sont pas connus pour voyager à l’étranger, préférant passer une vie d’indolence et de contemplation dans leurs demeures parfumées à l’essence de lotus.


La caste moyenne comprend l’aristocratie stygienne, et constitue le vrai pouvoir exécutif du royaume. Grand, à la peau sombre, avec des cheveux noirs et un nez busqué, l’aristocratie fournit les érudits et les prêtres qui dirigent les nombreux temples du royaume et qui entretiennent leurs fabuleuses bibliothèques. Sous leurs talons, se trouve la caste des paysans, notée par une stature moins grande, d’une peau plus basanée et d’une corpulence plus lourde. Les aristocrates dirigent la caste paysanne d’une main de fer, les plongeant dans une culture de crainte et de soumission absolue. La caste paysanne existe pour servir l’aristocratie et nourrir les appétits du leur dieu Set ; et même la plus petite désobéissance est suffisante pour mériter une mort lente dans les salles de tortures des temples.

En tant que culture, les Stygiens préfère la ruse, l’intelligence et l’agilité sur la force brute. Les épées et les haches sont la marque de fabrique d’une personne non civilisée et barbare. Pour cette raison, la plupart des stygiens que l’on trouve à l’extérieur des frontières sont habituellement des érudits ou des chercheurs de connaissances. Cette quête de la connaissance peut exister sous diverses formes, soit à travers la pratique de la sorcellerie, l’étude du corps et des arts de la guérison, soit à travers la pratique discrète de l’assassinat ou du vol. Aux yeux d’un Stygien ce type de recherche est tout à fait valable, car elle exige intelligence, éducation et discipline, qualités dont il pense que n’ont pas les royaumes inférieurs de cette époque.

Dans Age of Conan: Hyborian Adventures, l’affinité qu’on les Stygiens pour la magie est particulièrement évidente. Leur capacité à maîtriser cet ancien art les a mené à devenir la seule des trois races qui peut se spécialiser dans l’archétype de Mage. Egalement, pour les Stygiens qui décident de suivre l’archétype de Prêtre, ils ont une exclusivité sur la puissante voie du Scion of Set. Les mages stygiens peuvent devenir Liches, Nécromanciens, Herauts de Xotli et Démonistes. Pour ceux qui choisissent de suivre la voie du Rogue ou du Prêtre, ils peuvent aussi devenir Druides Tempête, Assassins et Rangers. Leur supériorité dans la magie comporte toutefois un prix, ils ne peuvent jamais choisir l’archétype de Soldat.

Papillon de feu : c'est de cette manière que le gens simples de la province de Khopshef décrivent la mystérieuse silhouette de ce saint personnage qui dirige un ancien temple situé à l'ombre de la grande pyramide au sud du village de Bubshur.


Les visiteurs qui se rendent au temple dans l'espoir d'écouter une de ses divinations sont envoûtés par la peau dorée du jeune homme et par sa beauté exotique et androgyne. Sa jeune apparence ne reflète pas sa sagesse et son charisme, et beaucoup de jeunes hommes et de jeunes femmes qui ont assez de chance de jouir de ses faveurs en sa présence renoncent à leur ancienne vie et se mettent à son service.Depuis son arrivée récente, le culte de l'oracle s'est étendu rapidement, et de nombreuses tentes ont apparu autour du temple afin d'abriter ses disciples dévoués. Les membres du culte continuent à nettoyer et à s'approprier le temple à moitié en ruine pour la gloire de l'oracle, décorant les murs de pierres usés par le temps, avec des bannières colorées et quelques pièces de tissus pour lui redonner son ancienne gloire.






L'oracle n'est pas toutefois aimé par tout le monde. De prospères familles de marchands qui ont vu leurs fils et leurs filles s'adonner au culte de l'oracle n'ont pas été autorisées à voir leurs enfants, toutes leurs demandes étant refusées par une excuse où autre explication. Les citoyens de la province de khopshef sont troublés par le flot constant des convertis qui quittent leurs villages pour se mettre au service de cette mystérieuse personne, alors qu'ils ne peuvent pas trouver de prétexte pour l'accuser de mal ou de malice. Durant les derniers jours, cependant, un groupe d'émissaires de l'Anneau Noir est arrivés du sud-est et a installé un camp sur une falaise surplombant la sinistre pyramide.

De la, les émissaires observent les allées et venues autour du temple avec intérêt comme des oiseaux charognards pressentant une catastrophe. Il reste à voir ce que présage la présence de l'oracle et de ses disciples fanatiques et seul le mystère autour de lui et de son culte total s'épaissit.

Nés d'une robuste race du nord dans la terre connue sous le nom de Vanaheim, les Vanirs partagent avec les Cimmériens des points communs : les deux peuples sont considérés comme barbares par la plupart des autres nations et ont une existence tribale où seuls presque tous les hommes sont entraînés pour faire la guerre et la chasse.


Les Vanirs diffèrent de leurs voisins Cimmériens au sud dans le fait que ce sont de vicieux pillards qui attaquent pour piller, réduire en esclavage et parfois, tout simplement, pour s'amuser.

Actuellement les Vanirs sont entrain de déferler au sud à travers les frontières montagneuses, repoussant les défenseurs Cimmériens et prenant les têtes des guerriers qui s'opposent à eux. Contrairement à la guerre d'escarmouche habituelle des Vanirs, ces attaques ressemblent non pas à un long raid de pillage mais plutôt à une guerre de conquête. Dans cette guerre âpre, les hommes du nord sont menés par les commandants Ymirish, peuple au cheveux blancs descendant les géants du froid, possèdent une mystérieuse autorité sur les envahisseurs Vanirs.





Le Vanaheim est une terre de toundra et de vents glacials recouverte par la neige. Durant ces derniers temps annonçant la fin de l'Age Hyborien, elle est une des premières nations dont le destin est de mourir par la chute des glaciers avec l'engloutissement dans la mer. Ce destin n'est cependant pas proche. Le guerriers Vanirs attaquent le sud avec une violence gratuite. Les berserkers du Nordheim fondent sur les habitants du coin, tuant les guerriers Cimmériens éparpillés et désorganisés, violant leurs femmes et réduisant leurs enfants en esclavage.

Un ennemi toujours redouté par les adorateurs de Set, l'histoire de Kalanthes est longue, s'étendant sur tout Hyboria. Vieil homme aujourd'hui, il possède une puissante volonté et maîtrise une magie qui rivalise, dit-on, avec n'importe qui sur le continent.


Il existe de nombreuses rumeurs et récits sur le haut prêtre, certaines s'étendant sur de nombreuses années dans le passé et qui parlent de la lutte entre la force de sa foi et le sombre dieu. Bras droit d'Ibis, Kalanthes a combattu les ténèbres pendant très longtemps.

Le destin de Kalanthes a plusieurs fois croisé celui aventureux de Conan. Presque à chaque fois, leurs vies ne tenaient plus qu'à un fil, mais le destin les a séparé à chaque fois. Même les agents de Set les plus horribles et les plus puissants ont été incapables de réussir à envoyer le haut prêtre dans l'autre monde – un exploit que seuls quelques rares personnes pourraient un jour se vanter. La puissance de sa foi et les dons qu'elle lui procure sont, quand il décide de les utiliser, étonnante et mystérieuse. Le haut prêtre d'Ibis aimerait à penser qu'il n'est qu'un simple Némédien normal, mais il connaît la nature de sa destinée beaucoup trop bien pour pouvoir l'ignorer.

Kalanthes s'est fait de nombreux alliés, et parmi eux des amis proches. Il semble que, comme son vieil ami et compagnon le Roi Conan, il ne soit plus en première ligne et aie pris du recul face à la guerre contre Set. On entend moins d'histoires sur sa magie et l'influence du dieu serpent ne s'est pas estompée. Il y a des rumeurs parlant d'un homme, ayant les mêmes traits, que l'on aurait vu autour des plages de Tortage – une île pour laquelle rares sont ceux qui la qualifierait de lieu de retraite paisible. C'est comme s'il était entrain d'attendre quelqu'un.

Ayant détrôné le dernier roi, Numedides III et revendiqué la couronne pour la poser sur un front troublé, Conan le Cimmérien reigne maintenant sur le trône d'Aquilonie. Dans tout Hyborie, ses récits sont connus sous forme de légendes et de sagas. A part les plus sombres frontières des Royaumes Noirs et le Pays Sauvage Picte, il n'y pas une âme qui n'a pas au moins entendu parler de la vie de Conan, et il n'existe pas un aventurier dont la vie n'est pas plus ou moins un reflet de la sienne.


Conan a mis beaucoup de temps lors de ses sombres péripéties pour arriver sur le trône. Ses aventures ont commencé dans un clan barbare, grandissant au milieu de l'âpreté de la Cimmérie. Et même quand il était un jeune garçon de quelques quinze printemps, il avait participé au sac de l'avant-poste aquilonien de Fort Venarium. Il apprécia sa vie de pillard avec les Aesir, croisant le fer aussi bien avec les Vanir qu'avec les Hyperboréens. Il souffrit en tant qu'esclave et gladiateur, en tant que spadassin et prisonnier. Il vécu en tant que voleur dans les rues de Shadizar, vivant grâce à des trésors bien mal acquis et des pièces "oubliées". Conan a vécu des deux côtés de la loi, en tant que capitaine de bateau et pirate, mercenaire et soldat-pour finir, en fin de compte, comme roi d'Aquilonie. Il a tué des animaux, des monstres et des démons, n'épargnant jamais leurs noirs maîtres sorciers. Sa lame a goûté le sang de centaines d'individus, et ses voyages l'ont fait parcourir des milliers de lieues. Mais ses aventures ne prirent pas toutes naissance par l'épée et le sang,Il a également aimé aussi férocement qu'il s'est battu.

Les femmes de nombreux pays ont attiré ses attentions lors de ses voyages. Certains disent que des rares ont réussies à retenir son cœur pendant un temps – peut-être pendant plus de temps que Conan pourrait l'admettre. Qu'importe ses amours et ses conquêtes passées, c'est Zenobie qui devait partager sa vie et devenir sa femme et Reine.

Il a mené les armées d'Aquilonie contre les royaume ennemis de Némédie, d'Ophir et de Koth; envoyant ainsi un message pour dire que les Royaumes Frontières ne seraient pas livrés à eux-mêmes et à leurs propres intrigues. Il y a eu beaucoup trop de sang versé dans ces terres dévastées pour ne plus être ignorées plus longtemps. En tant de roi, Conan ne peut plus partir à l'aventure comme il avait l'habitude de le faire, ainsi il doit déléguer plutôt ceci à des sujets sachant se battre et loyaux. Ils peuvent apprécier, derrière une lame trempée de sang jusqu'à la garde, une vie de vagabondage faite chaque jour de voyages et de frissons, alors qu'il doit patiemment attendre des nouvelles de leurs succès. Son rôle est devenu plus structuré, plus lié à Tarantia et au destin de l'Aquilonie que jamais auparavant. La couronne ne lui a jamais paru plus lourde qu'en ce moment

Il est assis sur le trône à Tarantia, observant et attendant concentré car des menaces sur son trône peuvent se dresser derrière lui comme des cobras prêts à frapper. Il aimerait rien de plus que de se débarrasser de tout cela et de rencontrer ses ennemis comme devrait le faire un guerrier, sur le champ de bataille, mais comme le roi ne peut pas partir, il laisse tout ça à de braves aventuriers qui marchent sur ses traces. Alors qu'il a été source de légendes, le Roi Conan aime les récits narrés par les conteurs de ces héros de ce nouvel âge, les héritiers des ses propres aventures depuis longtemps achevées.

Il se languit de les rejoindre à nouveau…